1. |
3h et des personnes
06:26
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3H ET DES PERSONNES
On va jouer à la chanson de celleux qui s’aiment fort !
Il y a tellement de choix variés dans ma ville,
il y a encore du ciel et des accès,
Beaucoup à boire,
On s’entraîne à se méfier, et à s’y croire !
L’amer acquis, marche-fonctionne,
Navigue sur les grains vers un chant de sirène comme un rêve non-appelé reste essentiel
Il est minuit, et des personnes,
Le parfum sourd des saveurs familières
s’allie aux gestes, sur le terrain conquis,
je lève mon verre au paradoxe d’une piste pour éclairer la nuit
pour éclairer la nuit…
Est-ce une nuit ou bien une folle ?
Sorcière, c’est la source d’hier !
Je suis 1h, et des personnes
Il est 2h, et des personnes
La portion démissionne d’une envie de danser
Le corps s’affole en guise de sa part de bonté,
Le temps remonte, la file passe, ma joie ne diminue qu’à chaque vision,
Monde irradie, je ne rêve plus qu’à la tombée de la nuit…
Qu’à la tombée de la nuit...
Est-ce une nuit ou bien une folle ?
Sorcière, c’est la source d’hier !
Je suis 3h, et des personnes
Aurions-nous vu l’once d’une république dans une réponse ?
Quand temps, les fleurs sont, content, de son reflet Ce qui remonte, c’est ce qui cogne
L’ordre des compagnies est l’hérésie du jour et de la nuit
Du jour et de la nuit !
Aurions-nous vu l’once d’une république dans une réponse ?
Quand temps, les fleurs sont, content, de son reflet Ce qui remonte, c’est ce qui cogne
L’ordre des compagnies est l’hérésie du jour et de la nuit
Il est 3h et des personnes,
L’influence de l’alcool rend le lieu monotone — Paris,
Où l’ombre du peuple résonne
Où mon sillon s’ajourne à la rencontre avec ce qui nous illusionne
Les questions décisionnent pour moi la suite de ce qui m’environne,
À fasciner le sol, Paris, y’a plus personne
Je ne rêve plus qu’à la tombée de la nuit...
Est-ce une nuit ou bien une folle ?
Sorcière, c’est la source d’hier !
Je suis 3h, et des personnes
3AM AND PEOPLE
We’ll play to the song of those who really love one another!
There’s such diversity of choice in my city,
There are still skies above and places to go,
So much to drink,
We’re trained to flaunt ourselves, but also to mistrust, to think!
The day-mark done, work-function,
Navigate across the squalls towards the siren’s song
Inevitable like an unwanted dream
It’s midnight, and people,
The deafening fragrance of familiar flavors merges with movement, in the conquered steam
I raise my glass to the paradox of a track to light up the night
to light up the night…
Is this a night or rather a lunatic?
Sorceress is to bless the source of us
I am 1am, and people
It is 2am, and people
Some abandon their desire to dance
Bodies losing their heads for their share of kindness
Time turns back, the line passes, my joy only dampens with each apparition,
Irradiated world, the only time I dream now is at nightfall…
Only now at nightfall…
Is this a night or rather a lunatic?
Sorceress is to bless the source of us
I am 3am, and people
Could we have seen an ounce of republic in an answer?
When time, the flowers are, satisfied, with its shine
Which turns back, is what strikes
The companies’ instructions are the heresy of daytime and nighttime
Of daytime and nighttime!
Could we have seen an ounce of republic in an answer?
When time, the flowers are, satisfied, with its shine
Which turns back, is what strikes
The companies’ instructions are the heresy of daytime and nighttime
It is 3am and people,
The influence of alcohol makes the place monotone – Paris,
Where the shadow of people reverberates
Where my groove abates when it sees all that deludes us
Questions make decisions for me, that culminates from my surroundings,
No one left, Paris, that fascinates the floor
The only time I dream now is at nightfall…
Is this a night or rather a lunatic?
Sorceress is to bless the source of us
I am 3am, and people
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2. |
Olatunji
05:07
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OLATUNJI
Diluée entre foutres possibles
L’idée décence lit délaissance
Échoue sa place au large : qu’est-ce l’être sans l’existence ?
Qu’est-ce ombre, âgée de lumière ?
Solaire... en quiet de verre
On va se rencontrer, ici, ou hier !Longs mêler, hordes, chants gelés
Les reflets dans l’eau sont la répercussion de nos présences à l’air
Ce sera dit, une fois de plus
Les lois retiennent les lâches au sel de leur plage Ce sera lu, et digéré : ce qu’on ordonne sans rendre l’or duquel on s’est permises d’être faites responsables… C’est la plateur de l’âge
Éluex prends soin tu fends la terre !
Chaque axe pend aux veilles décelées
Longs mêler, hordes, chants gelés,
Quand tout cri de partir
Vivre se pourrait compter sur la pointe des pieds Un peu comme suivre respire la perte et le courant Les distances qui nous lient réalisent l’âme-arche C’est chaque levier qui a une âme, chaque seconde une conscience
Ce temps, c’est une alliée ! c’est l’aimant d’une décision… Pour moi, enfin, à mon sens
Éluex prends soin tu fends la terre !
Chaque axe pend aux veilles décelées
Longs mêler, hordes, chants gelés
Quand tout cri de partir
Olatunji, partant de qui mon art se permet
Il n’y a pas de récompense, comme il n’y a pas de mal
Toute est récompense —
Pour moi, enfin, à mon sens...
Vivre se pourrait compter sur la pointe des pieds, tous les visages défier l’ordre fragile de cette innée vitale… De cette innée vitale
Solaire, en quiet de verre
Il n’y a pas de récompense, comme il n’y a pas de mal
Toute est récompense… pour moi, enfin, à mon sens
Solaires, qui êtes-vous qui allons vers ?
Solaires, on va se rencontrer, ici, ou hier
Solaire, en quiet de verre
En quiet de verre
En quiet de verre
OLATUNJI
Diluted between fucking possibilities
The veil of decency reveals deviancy
Space abandoned to the open sea: what is being without existence?
What is this shadow, light years of age?
Solar…
On the down-low for glass
We’ll meet each other, here, or yesterday!
Long mixing, crowds, pitch glacial
Reflections in the water are repercussions of our atmospheric presences
This’ll be said, one more time
Laws latch on to cowards with salt from their sands
This’ll be read by me and appreciated: whatever we ask for without tendering the gold we have the brass neck to administrate…
That’s the flatness of our times
Chosen ones take care you’re dividing the earth!
Each approach hangs from the eves of perception
Long mixing, crowds, vocal terminally glacial
Till only all cry to leave
Living could be counted on tiptoes
A little like following inhales loss and movement
The distances that link us create a sublime arch
Each steppingstone will have a soul, each second will have a conscience
This time is an ally!
A magnet for decisions… at least, that’s what I think
Chosen ones take care you’re dividing the earth!
Each approach hangs from the eves of perception
Long mixing, crowds, vocal terminally glacial
Till only all cry to leave
Olatunji, from whom my art is permitted
There is no reward, just as there is no evil
Her entirety is rewarded –
At least, that’s what I think...
Living could be counted on tiptoes, all the faces defying the fragile order of this innate vitality… inner vital ability
Solar…
On the down-low for glass
There is no reward, just as there is no evil
Her entirety is rewarded… at least, that’s what I think
Solars, who are you who we’re heading to?
Solars, we’ll meet each other, here, or yesterday
Solar, on the down-low for glass
On the down-low for glass
On the down-low for glass
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3. |
Corps vs Coeur
06:54
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CORPS VS CŒUR
L’appartement se vide, l’absence va le remplir…
Faiblir au froid, dans une rue déserte, devenue soi
Je retourne le sol, qui ne m’appartient pas,
Je continue l’alcool,
Qui retient tous les gestes
Qu’il me reste de toi
Un sourire, sans regard
Ignorant le partir…
L’aube est mon souvenir,
J’aligne les syllabes, à devoir en sortir…
Eu vent d’un amour pour le vendre, moi !
Combien ? Toi !
Le corps contre le cœur, haaan
Je sais, si tu ne viens pas je vais
Que suis-je d’amour et toi
M’en voulais qu’être soi, j’espérais
Pouvoir courir les autres voies,
Les quelques mètres, c’est ça
Comme l’air résigné d’un ou deux plus tard garde présence
J’ai ce soir seule, compris encore je crois
Tous les désirs, contrant le vent,
Désinfinir, ce revenir, comment ?
Eu vent d’un amour pour le vendre, moi !
Combien ? Toi !
Le corps contre le cœur, haaan
Je sais, si tu ne viens pas je vais
Nous nous atmosphérions, n’est-ce pas ?
Nous avions des vies parallèles, n’est-ce pas ?
Des racines dans le regard, n’est-ce pas ?
J’aime trop, donc je n’aime pas assez, n’est-ce pas ?
Eu vent d’un amour pour le vendre, moi !
Combien ? Toi !
Le corps contre le cœur, haaan
Je sais, si tu ne viens pas je vais
Eu vent d’un amour pour le vendre, moi !
Combien ? Toi !
Le corps contre le cœur, han
Je sais, si tu ne viens pas je vais
Je sais, si tu ne viens pas je vais
Je sais, si tu ne viens pas je vais
BODY VS HEART
The apartment is emptying, absence will fill it…
Fading in the frost, in a street forsaken, back to itself
I return the land, that doesn’t belong to me,
I keep on drinking
To retain every gesture
Of yours that I still nurture
A smile, blind
Unaware of the departure…
Dawn is my memory,
I align the syllables, but some, I have to remove…
Had the breeze of love but I sold it!
For how much? You!
Body versus the heart, huh
I know, if you don’t come, I’ll go
What am I after love and you
Angry about being myself, I hoped
I could run down other paths,
For a few meters, right
With an air of resignation, one or two later, still existing
This evening I’m solitary, yet still I believe
All desires, against the breeze,
Deinfiniting, returning, but how?
Had the breeze of love but I sold it!
For how much? You!
Body versus the heart, huh
I know, if you don’t come, I’ll go
We atmosphered each other, didn’t we?
We had parallel lives, didn’t we?
Roots in our eyes, didn’t we?
I love too much, so I don’t love enough, do I?
Had the breeze of love but I sold it!
For how much? You!
Body versus the heart, huh
I know, if you don’t come, I’ll go
Had the breeze of love but I sold it!
For how much? You!
Body versus the heart, huh
I know, if you don’t come, I’ll go
I know, if you don’t come, I’ll go
I know, if you don’t come, I’ll go
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4. |
Fureur
04:05
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FUREUR
Ah-ah-ah — Fureur — Ah-ah-ah
Maintenant l’amour que c’est dit
C’est le soleil non-aveuglant
Reflète le cœur dans tous ses plis
Supplie d’y voir encore plus clair
L’azur ne brille pas
Le soleil n’agrandit, c’est juste
J’abandonne sa forme, une partie de mon cœur
Ah-ah-ah — Fureur — Ah-ah-ah
Mon taire sema l’image des fissures
Rose joues, air pur
En un mot retrouver
L’habitude d’être
Et un terre naît
Ah-ah-ah
Tu veux ta folie ? T’affoler ? T’immiscer ?
Timide ! Je veux écrire, n’avoir pas à consigner ta Fureur
Ah-ah — Ah-ah — Ah — Ah
Reste à ta place !
Où l’on t’a doré depuis beaucoup trop longtemps ! Fureur ! Fureur !
Reste à ta place !
Ah-ah — Ah-ah — Ah — Ah
À gestes déportés
La vie calme s’assure des restes
Terrestes, tes restes
Comme un arbre sans saveur réclame une syllabe L’humain, limite-même de l’âme
Colle à l’azur
L’eau
L’effet mer résiste
Ah-ah-ah — Fureur — Ah-ah-ah
Pas mieux que pardonner
FURY
Ah-ah-ah — Fury — Ah-ah-ah
Now that love is said and done
And is the non-blinding sun
Reflects the heart in all its pleats
Pleads to see ever more clearly
The skies are not shining
The sun isn’t growing, that’s right
I abandon its shape, a part of my heart
Ah-ah-ah — Fury — Ah-ah-ah
My silence sowed an image of fractures
Pink cheeks, pure air
In one word: encountering
The habit of being
An immaterial earth is born
Ah-ah-ah
D’you want your insanity? Inanity? Insensitivity?
Timid! I want to write, without having to chronicle your
Fury
Ah-ah — Ah-ah — Ah — Ah
Stay where you are!
Where you’ve been gilded for far too long!
Fury! Fury!
Stay where you are!
Ah-ah — Ah-ah — Ah — Ah
Exiled gestures
A calm life guarantees the rest, you’re
Terrestrial, to rest your all
The human itself hinders the inner self
Bonds to the blue
The water
The ever nascent sea resists
Ah-ah-ah — Fury — Ah-ah-ah
No better than forgiveness
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5. |
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VASSILI VOIR
Perdant l’espoir dans la possibilité de moi-même
Je suis devenue sourde aux autres
Leurs actes ne sont que des bourdonnements de présence,
Perdant l’espoir de la possibilité d’exercer sereinement mon métier
Je suis devenue sourde à moi-même !
Je recevais moins bien les transmissions des autres,
Perdant l’espoir de la possibilité d’accès à mes pensées meilleures,
Je suis devenue sourde à mes pensées meilleures,
Je me suis mise à l’écoute de pensées médiocres
J’ai négligé
Tout ce qui pouvait l’être !
Je me suis refusée
J’ai eu de la pitié pour Memphis
J’ai grandi aux côtés d’horizons dégarnis
Parmi lier de —
Fil rouge de l’histoire manque !
Vassili voir où vont les toits
Vassili voir où vont les toits du monde dehors Levés à la même heure
C’est important,
Mais meurt
Ici encore il n’y a pas d’humains échappés d’un pays
Devant le supermarché
Il n’y a personne en perte d’identité !
Je n’en ai pas écrit une goutte
On est toujours le peuple de l’autre Dialogue fermé de base
Grineux
Au lieu de phage !
Vassili voir où vont les toits
Vassili voir où vont les toits du monde dehors Levés à la même heure
C’est important,
Mais meurt
Voyageurs de mon ciel
Celui qui te revient
Quand terre
Ton âme
Protège les vivants
Du dehors
Vassili voir où vont les toits
Vassili voir où vont les toits du monde dehors Levés à la même heure
C’est important,
Mais meurt
WHY DON’T YOU SEE
Losing all hope in the possibility of myself
I’ve become deaf to all others
Their actions are simply susurrations of presence,
Losing all hope in the possibility of peacefully doing my job
I’ve become deaf to myself!
I didn’t receive other people’s transmissions quite so well,
Losing all hope in the possibility of possessing my best thoughts,
I’ve become deaf to my best thoughts,
I’ve begun tuning in to mediocre thoughts
I’ve neglected
All that could be!
I faced self-denial
I felt great pity for Memphis
I aged on the shores of horizons without sands
Amidst the binding of –
The red yarn of absent history!
Why don’t you see where the rooftops wander
Why don’t you see where the rooftops of the world wander beyond
Raised tied together
It’s important,
And died
Once again, there are no humans who’ve escaped from a country
Outside the local deli
Not one soul loses their identity!
Not one drop have I written
We’re always the people of the other
Basic closed dialogue
Grumpened
In place of phage!
Why don’t you see where the rooftops wander
Why don’t you see where the rooftops of the world wander beyond
Raised tied together
It’s important,
And died
The travelers of my sky
That’s returning to you
When land
Your soul
Protects the living
From outside
Why don’t you see where the rooftops wander
Why don’t you see where the rooftops of the world wander beyond
Raised tied together
It’s important,
And died
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6. |
Laca de lacanal
05:44
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LACA DE LACANAL
Ce s’ra pas grave les jours, allez on travaille tard !
Tenduesx sous les regards, mentant-tu,
De celleux qui ne savent pas leur drame
Sous les regards, les alliéesx meurent
Il y a une jeune âme, son mystère est un vide
Son regard reflète en bas des marches ses méprises
On ne sait pas combien pèse sa masse
Où vont les couleurs dans ses yeux
Ou ce qu’il y a de profond dans son cœur
L’âme se souvient un peu, d’un moment intérieur...
Soudain le tout entier s’est divisé en tiers
La terre a tourné vite
À nouveau le temps n’était pas à sa place
Laca de lacanal
Est localisée
Devant sa vie les rails, semblables aux jeunesx du sablier
Banalisés
Si tu cherches où sortir, on te tue !
Si tu cherches où brandir ton système, honte raye !
Balance tous tes accès, mets ton sourire, vole, si tu glisses !
Existe parmi nous, nous sommes des milliers, coca-focaliséesx
Sur ce qui hait —
Coca-focalisées, sur ce qui excite...
Disculpéesx, dit travail, cul et paix
Disculpéesx, dit travail, cul et paix
Cul et paix
Look out, look out !
Lacaaaaaaaaaaaaaaaaaa de lacanal
Est devenue mon allée
Ma raison est instable
Mon sable grand me nuit
Mon nid me manque
Je n’ignore pas qu’il faille !
Me trouver un toit
Je n’aurais plus de bleu pour voir
Plus de noir à écrire :
« Je suis cette nature,
Cette vitesse,
Ce droit,
Je n’ignore pas mes failles ! »
Disculpéesx, dit travail, cul et paix
Tenduesx sous les regards, mentant-tu,
De celleux qui ne savent pas leur drame
Sous les regards, les alliéesx meurent
THE LOCA OF LACANAL
It won’t matter by day, come on we work late!
Stretched under the eyes, lying d’you realize,
Some are still unaware of their tragedy
And under the eye, their allies die
There is a young soul, but their secret’s a void
Their eyes echo their confusion on the first step of the stairs
We have no idea how much they weigh
Where the colors of their eyes stray
Or anything deep down in their heart
The soul still remembers a little, of an interior time…
Swiftly, the entirety is divided in thirds
The earth rotated rapidly
And time, once again, wound up out of place
The loca of lacanal
Is located
Before their life the railroads, just like the youths of the hourglass
Banalized
You’re silenced if you search for a way out!
Shame strikes if you search for a way to tout your own system!
Cast aside your unrest, wear your smile, steal away, if you slip!
Be among us, we are the thousands who are coca-focused
On loathing
Coca-focused on loving...
Exonerated, work is x-rated, onerous
Exonerated, work is x-rated, onerous
Ex-rated
Look out, look out!
The locaaaaaaaaaaaaaaa of lacanal
Has become my ally
My reason is unstable
My sand is able to harm me
I appreciate my sanctuary
I get that it’s imperative!
To find myself a home
No longer would I feel blue to see
No longer black to write:
“I am this way,
This speed,
This right,
I get that I’m defective!”
Exonerated, work is x-rated, onerous
Stretched under the eyes, lying d’you realize,
Some are still unaware of their tragedy
And under the eye, their allies die
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7. |
Ça v aller
05:28
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ÇA V ALLER
Ah ce vin mes amïesx, correspond à un réel bonheur
Qui n’est pas le mien, peut-être, mais que ma bouche saisit
Avec la grande reconnaissance d’une peau blanche bronze
Sous nuages
Comment se dit : ça va aller ?
Comment s’écrit : ça va aller ?
Meurs, s’il faut mourir
Pleure, s’il faut... plus rire
Oh-oh
Au cœur de cri, battre méprise ?
Au cœur de cri rêver encore cernée d’une bouche
Bouche, bise bée ?
L’heure est femme, la fable de ma vie commence
Telle que je la prends en main, les frais d’une gourmandise à l’esprit infirmée - Oh !
C’est mon heure préférée !
Je n’ai personne avec qui la partager…
Je la partage avec moi-même
Je crois que c’est à cette heure-ci
Qu’il faut faire l’amour
Ahun-oh-hm-hm-oooooooooh
Han-hmm-oh-oh
Au cœur de cri, battre méprise ?
Au cœur de cri rêver encore cernée d’une bouche, Bise bée ?
Comment s’écrit : ça va aller ?
Comment se dit : avale ! Ça va aller !
Meurs, s’il faut mourir
Pleure, s’il faut... plus rire — Aaaaaa…
… aaaAH Ce vin mes amïesx, correspond à un réel bonheur
Qui n’est pas le mien, peut-être,
Mais que ma bouche saisit
Avec la grande reconnaissance d’une peau blanche bronze
Sous nuaaaaaa-aaa-avale !
Ça v aller
Avale
Avale
IT’LL BE OK
Oh this wine, my friends, equals genuine happiness
Which, perhaps, isn’t mine, and yet it’s seized by my mouth
With deep gratitude like bronzed white bodies
Beneath the clouds
How d’you say: it’ll be ok?
How d’you write: it’ll be ok?
Die, if you need to die
Cry… when laughter runs dry
Oh-oh
Inside the cry, a clanging mistake?
Inside the cry keep dreaming within the mouth
Mouth, cavernous kiss?
Time is a female, while the fable of my life begins
So, I take her in hand, the expense of gluttony to the quelled mind – Oh!
She’s my favorite time!
But there’s no one of mine to share her with…
I share her with myself
I think this is the time
We must make love
Ahun-oh-hm-hm-oooooooooh
Han-hmm-oh-oh
Inside the cry, a clanging mistake?
Inside the cry keep dreaming within the mouth
Mouth, cavernous kiss?
How d’you say: it’ll be ok?
How d’you write: swallow! This will be ok?
Die, if you need to die
Cry… when laughter runs dry — Aaaaaa…
… aaaAH
This wine, my friends, equals genuine happiness
Which, perhaps, isn’t mine,
And yet it’s seized by my mouth
With deep gratitude like bronzed white bodies
Wallowing beneath clouuuuuu-uuu-ds!
Swallow!
This will be ok
Swallow
Swallow
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Pays P. Paris, France
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